La culture gay à aussi son lot de tragédies…
Vous rappelez vous de ce garçon qui a enflammé la toile en 2007 avec une video qui a longuement fait le buzz (4 millions de vues en deux jours) ? Non ? Voici un rappel : Cheveux outrageusement méchés, rimel (?) aux yeux, il défendait en larmes, la performance aux MTV Video Music Awards de la chanteuse Britney Spears.
Si l’on aurait pu croire à l’époque qu’il pouvait être un peu dérangé, celà n’a plus laissé de doute en 2012 lorsqu’il s’est lancé dans une vidéo bareback avec deux quinquagénaire (dont le producteur de films gays Maverick) et son mec.
Il pensait se lancer dans le porno, mais avec une vidéo aussi trash, les portes des labels se sont toutes refermées sur lui. La décente aux enfers a continuée quelques temps où il a tenté d’exister en tentant également la musique, tout en mettant a jour son blog perso xxx, mais une rencontre à marqué un tournant pour Chris Crocker : Rupauls (rien que ça) qui l’a pris en main quelques temps suite a une interview pour un show (video youtube) .
« C’était ma première fois à New York, et Rupauls (…) me disait que j’étais un peu surexposé. Et c’est drôle car maintenant les choses sont tout le contraire. Mais elle me disait de faire attention à mes décisions et des gens que je fréquentais, parce que j’étais naif (…) . Elle a vraiment été très maternelle avec moi. »
Pour autant, Chris n’a pas fini d’exister, il le dit lui même, il a changé ! Il s’est assagi, s’entoure désormais des bonnes personnes…
Et c’est surement sur ces belles paroles (et surement de sa notoriété qu’il cherche à entretenir ) que le label Lukas Entertainment vient de lancer un film le mettant à l’honneur : Chris Crocker’s Raw Love.
Vous l’aurez surement compris par le titre du film, l’étiquette de barebacker lui colle encore à la peau et c’est comme tel qu’il fait parti du casting.
Chris Crocker a réussi ce qu’il visait, tourner pour un très gros label américain avec les plus beaux acteurs du moment… Un happy end donc ? Surement pas, si l’on considère que tourner dans des productions barebacks n’est n’y plus ni moins que du suicide…
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